On pourrait presque réfléchir

Le jour vient de commencer, on est déjà fatigué. Se réveiller très tôt le matin, s’habiller très vite, parfois prendre le petit déjeuner - quand le sommeil ne nous retarde pas - et aller au travail, soit chaud, soit froid. Le premier autobus est si plein de gens, on attend... le deuxième aussi plein ou plus, le troisième... On regarde l’heure, il n’y a pas de chance, il faut prendre l’autobus! Bien, on y va avec beaucoup d’effort et enfin on arrive. Oui, on arrive au métro, où commence la deuxiéme battaille de la journée: essayer d’en entrer. Au travail, tout peut être bien passé. Ou non. Mais il faut continuer. Puis, on va à l'université où il faut penser, écrire, parler... Parfois c’est impossible, on est si fatigué, il y a autant de chose dans la tête, engagements, tâches, préoccupations. Alors, c’est l’heure de partir. Commence la bataille de retourner à la maison. Il est déjà minuit et finalement on arrive. Ah! Presque agréable cette sensation. Les parents dorment déjà. On est chez soi, on peut prendre une douche, manger le sandwich que la mère a preparé et rester dans la chambre. Le retour à la maison... on pense sur la journée et on dors, c’est bien! C’est bien?

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